Notre implantation associative via nos délégations régionales et les associations qui les composent est une force. Or depuis le début de la crise sanitaire, et ce partout sur le territoire, nos délégations constatent l’affaissement des structures permettant l’expression des droits collectifs.
Les lieux de démocratie en santé ne fonctionnent pas comme ils devraient, notamment dans les instances régionales et territoriales.
L’état de sidération que chacun (autorités, professionnels, associations) a pu ressentir au moment de l’explosion de l’épidémie doit désormais être dépassé.
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