Aluminium vaccinal : le principe de précaution doit s’imposer

Le 7 mars 2014, l’Agence du Médicament annonce officiellement qu’elle contribue au financement des travaux de l’équipe INSERM des Professeurs Gherardi et Authier sur l’aluminium vaccinal (150 000 € pour 30 mois).

Petit retour en arrière…

1974 : l’Institut Pasteur retire l’aluminium de tous ses vaccins, pour des questions de sécurité, et le remplace par le phosphate de calcium, composant naturel de l’organisme. Lors de son rachat par l’Institut Mérieux, celui-ci décide de réutiliser l’aluminium, « pour simplifier ses méthodes de production » (1986).

1987 : le comité sur les produits allergènes de la FDA (l’Agence de sécurité sanitaire des USA) écrit: «On en connait assez sur l’aluminium pour savoir que l’on ne devrait l’injecter à personne, à moins qu’il n’y ait un réel et raisonnable bénéfice à espérer».

1994 : le Dr Michelle Coquet (CHU de Bordeaux) met en évidence la première anomalie lors d’une biopsie musculaire. Quelques années plus tard, les chercheurs découvrent que l’aluminium vaccinal peut perdurer des années au site d’injection d’un vaccin, avant de migrer dans l’organisme jusqu’à s’accumuler (pour partie) dans le cerveau (Pr Gherardi). Les déficiences neurocognitives des personnes atteintes de myofasciite à macrophages, ainsi que l’imagerie médicale, attestent de lésions dans le cerveau (Pr Authier).

2008 : lors d’une réunion sur les adjuvants organisée par la FDA, le représentant de l’Agence européenne du Médicament est très explicite :

« La plupart de ces vaccins ont été faits de façon empirique. (…) Alors que beaucoup de vaccins sont donnés très tôt dans la vie, on ne sait pas quel est l’effet de l’empreinte à long terme sur le système immunitaire des petits enfants  ».

Plusieurs équipes internationales travaillent maintenant sur cette question, au Canada, en Grande-Bretagne, aux USA, en Israël, etc.

Et maintenant ?

Les 150 000 euros attribués par l’ANSM sont une première étape, importante certes, mais insuffisante : un financement massif doit être octroyé de manière urgente à des équipes indépendantes afin que toutes les conséquences de l’accumulation d’aluminium dans le cerveau soient connues au plus vite. En attendant, les autorités sanitaires ont le devoir d’appliquer le principe de précaution :

  • les vaccins obligatoires doivent exister en version sans aluminium, afin de protéger nos enfants,
  • aucun vaccin contenant de l’aluminium ne doit bénéficier d’une promotion particulière par les autorités sanitaires.

Manifestants-E3M

Manifestants-2-E3M

  • Pétition citoyenne pour la remise à disposition d’un DTPolio sans aluminium : ici
  • Pétition des médecins pour la remise à disposition d’un DTPolio sans aluminium : ici

Didier Lambert

Ancien directeur de services médico-sociaux, Didier Lambert est en invalidité depuis 10 ans. Une situation partagée par 78 % des adhérents de l’association E3M (Entraide aux Malades de Myofasciite à Macrophages). Celle-ci milite pour que les autorités sanitaires assument leur mission de protection de la population en prenant réellement en compte les effets indésirables induits par la vaccination, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.

Sources :

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